Il y a des amours dans les polyvalentes. L'histoire d'amour de François Gougeon a commencé le jour où, sur la moto de Luc Robert, il a avalé une mouche. Depuis, il a le cœur dans un ascenseur.
LE GRAND SUCCÈS DES ROMANS POUR ADOLESCENTS EN LITTÉRATURE QUÉBÉCOISE
Prix du Conseil des Arts 1986
Premier au concours « Livromaniaque » 1988
Sceau d’excellence ACQ 88
Ce que la presse en dit
« Malgré les années qui ont passé depuis sa première publication, ce roman magnifique n’a pas pris une ride. À lire parce que quand on est en amour, on a souvent l’air raisin ! »
Marie Josée Turgeon - Collections
« Il s’en passe des choses dans la vie de tous les jours des adolescents de nos polyvalentes, à partir des bruits de moto jusqu’aux grandes passions amoureuses ! François Gougeon en sait quelque chose, lui qui a l’œil sur Anik. [...] Le style est net, précis, jamais précieux. Le ton est celui de l’humour et de la dédramatisation. »
Louise Blanchard, Le Journal de Montréal
« Quand on a le mal des filles, il peut se passer bien des choses dans une année scolaire. Laissez François vous ouvrir la porte de son intimité. Un roman tendre et humoristique, un récit moderne écrit par un auteur qui aime les adolescents et qui les connaît bien. »
Sélection Communication-Jeunesse
« Mais Le Dernier des raisins n’a que peu à voir avec les romans roses. D’abord, parce que c’est très drôle : le héros nous livre ses tourments d’un ton badin, sans fausse pudeur, sans craindre de barboter joyeusement dans ses fantasmes. Il est honnête, exubérant, impitoyable, impertinent, pathétique et attachant. »
Dominique Demers, Le Devoir