Léa a vingt-trois ans et veut devenir la «plus grande peintre que la terre ait portée ». Mais la vie ne la laisse pas tranquille, et la mort de sa grand-mère viendra chambouler ses idées de grandeur. En guise d’héritage, elle reçoit la garde de sa mère, qui ne peut habiter seule, hantée par la folie et ses mille visages.
Léa devra veiller sur elle jusqu’à la fin de ses jours, quitte à voir ses beaux rêves lui glisser entre les pinceaux.
Ce que la presse en dit
« D'un chapitre à l'autre, ces deux voix alternent. L'histoire
de Léa est entrecoupée de ces lettres qui nous laissent l'impression
vive d'entrer dans le secret de l'auteure, dans la fabrication intime du
roman qu'elle est en train d'écrire sous nos yeux. Et c'est beau,
douloureusement beau, tellement beau que ça fait mal au coeur. Alors que
l'on nage en pleine détresse, en pleine tragédie humaine, on se sent
portés par la grâce de cette écriture qui joue avec les maux avec une
inventivité et un bonheur rare. »
Marie-Claude Fortin — La Presse
« Aiguisée comme un scalpel, la plume de Marie-Sissi Labrèche
pique au cœur de la douleur... »
Elsa Pépin – Ici