Une chaîne dans le parc, c’est un splendide éloge de l’enfance et c’est plus que cela ; c’est aussi et surtout, il me semble, l’éloge de la liberté qui loge dans la tête. Avec des mots, un style, des personnages et une histoire qui ne disent que oui à tout, à la pluie et au soleil, à la tendresse et à la révolte. André Langevin, dans ce roman qui est un chef-d’œuvre, dit non à la condition humaine, pour mieux dire oui à l’homme. La littérature sert encore à quelque chose…
Réginald Martel, La Presse