Cela commence, par un soir de tempête, comme un récit d’aventures, à la manière de Stevenson ou de Cooper. Puis, peu à peu, le vent du diable se met à souffler, et pousse Albert dans les bras de la Verte. Marie-Ange voit bien que sa vie va changer, que son compagnon accompagnera désormais une fille qu’elle n’arrive pas à détester profondément.
Ce que la presse en dit
Le Vent du diable restera un livre important, parce qu’André Major n’a choisi ni le pur fabriqué, ni l’horreur, ni la désinvolture […]. Ne connaissant pas la lumière, ni les ersatz de lumière, il a choisi tout humblement d’exprimer ses ténèbres.
Jean Basile, Le Devoir