Le succès de La Veuve (Boréal, 2009), aussi bien auprès du public que de la critique, a confirmé la place de Gil Adamson parmi les écrivains canadiens-anglais les plus importants de sa génération. Dix ans plus tôt, elle avait déjà fait paraître un livre qui avait retenu l’attention, un recueil de nouvelles intitulées Help me, Jacques Cousteau.
La romancière Barbara Gowdy a dit de ce livre qu’il était « exceptionnel… intelligent, captivant, parfaitement original ». L’oeuvre paraît enfin en français, et ces nouvelles, qui mettent toutes en scène les mêmes personnages, constituent en fait un touchant « roman d’apprentissage ».
À l’aide, Jacques Cousteau raconte les tribulations de Hazel et de son frère, Andrew. La vie de Hazel forme une suite d’événements tout aussi étranges que parfaitement vraisemblables, mettant en scène les membres d’une famille qui ont une seule chose en commun, un penchant pour l’excentricité. En brossant ce fascinant portrait d’une famille dysfonctionnelle, Gil Adamson déploie la force extraordinaire de son écriture, combinant l’attention pour le détail du scientifique avec l’oreille infaillible du poète.
« Les premiers romans qui prennent l’allure de récits autobiographiques de l’adolescence sont monnaie courante. Mais quand ils brillent autant que ce joyau, finement ciselé, aux mille facettes, éclatant d’esprit et d’humour, il n’y a rien de mieux. »
The Guardian
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