Bernard Valcourt est journaliste. Il a été témoin de la famine en Éthiopie. Il a vu la guerre au Liban. Il n’a plus rien à apprendre au sujet de l’horreur dont les hommes sont capables. Et c’est par désœuvrement qu’il accepte, au début des années 90, de se rendre au Rwanda pour mettre sur pied un service de télévision. Un dimanche à la piscine à Kigali retrace de façon saisissante l’histoire récente du Rwanda et parvient à faire comprendre les mécanismes du génocide mieux que tous les bulletins de nouvelles.
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Ce que la presse en dit
« Avec cet ouvrage, exceptionnel, douloureux pour l’esprit, accablant
pour l’espèce, vous aviez pénétré dans le pays des morts, partageant la
marche funèbre d’un homme blanc aimant par-dessus tout une femme noire
au cœur d’une Afrique rouge de sang. [...] Entrer dans ce livre, c’est
accéder à un univers où le jour ne se lève plus. »
Jean-Paul Dubois, Le
Nouvel Observateur (Paris)