La morale de cette histoire, si morale il devait y avoir, serait celle-ci : « Le bonheur est dans l’oubli. » L’oubli du passé, de ses vieilles blessures […], de nos racines, de notre passé historique de victimes ou de conquérants. […] Ce qui n’empêche pas Daniel Poliquin d’écrire des livres que l’on n’oublie pas, des livres qui le préserveront, lui, de l’oubli.
Marie-Claude Fortin, Voir