Au large de Cape Race, à Terre-Neuve, deux pêcheurs découvrent un bébé, une fille, dans un panier d’osier à la dérive sur les glaces. Ils la recueillent. C’est ainsi que commence une grande saga familiale qui embrassera tout le siècle.
Pour les villageois, la petite Aurora — avec sa chevelure d’un blanc éclatant et ses yeux vairons, l’un bleu, l’autre brun — est manifestement porteuse d’un enchantement. Toute sa vie, elle la passera ainsi, aussi à l’aise dans le monde merveilleux des fées que dans le quotidien le plus modeste, en profonde harmonie avec le lieu incomparable où la vie l’a menée.
Cette histoire où résonnent les échos des légendes, où il est question d’icebergs, de naufrages et de voyages au long cours, raconte aussi un grand amour, celui qui unira Aurora et le fils du gardien du phare, que rassemble une passion commune pour les livres.
Ce n’est que quand Aurora sera arrivée au terme de sa vie, après avoir élevé ses enfants et ses petits-enfants, que le récit conduira le lecteur en Angleterre et en Irlande pour lui révéler le mystère de son destin.
Évocation inoubliable de la région de Cape Race, La Fille blanche marie un art remarquable du récit et un don irrésistible pour peindre les lieux et les atmosphères.
Ce que la presse en dit
« C’est un roman magique, qui nous convie à un voyage en des lieux où
seule la littérature peut nous conduire ».
The Ottawa Citizen