Iotékha’, c’est-à-dire « il brûle », en langue mohawk, à l’image de l’auteur qui voit sa vie devenir fumée et qui essaie d’en lire le sens à travers ses volutes fantasques.
Qu’est-ce qui fait qu’on ne peut cesser de fumer ? Qu’est-ce qui fait qu’on ne peut cesser de regarder autour de soi, de percevoir des correspondances, des harmoniques, entre les différentes formes d’art, entre le ciel étoilé et ce qui se passe en nous ?
Dans ces carnets, Robert Lalonde s’appuie sur un souvenir d’enfance, sur un moment de son travail d’acteur ou d’écrivain, sur une phrase lue, sur une image, pour effectuer une plongée vertigineuse dans le temps qui passe et qui transforme tout. Il donne ici une méditation intimiste, à la fois grave et lumineuse, où il conjugue tout ce à quoi il est passionnément attaché : les livres, le théâtre, la vie sauvage, le geste d’allumer une cigarette.
Autres informations
Ce que la presse en dit
« Un livre d'auteur, d'écriture, des pages d'une beauté
incroyable, tellement bouleversantes. [...] C'est extraordinaire, quel
livre magnifique ! » Chantal Jolis, Radio-Canada
« Tout au long des pages d'
Iotékha',
l'Auteur effectue d'innombrables et fascinants aller-retour, entre
l'intime et l'universel, entre son passé d'enfant seul [...] et son
présent d'aspirant sage pris de passion "pour l'art de voir et pour les
humains qui voient". [...] Des pages éclairantes. **** » Marie-Claude
Fortin,
La PresseLire l'article du Devoir