Marie Uguay occupe une place à part dans la littérature québécoise. Sa poésie sensuelle, qui chante la beauté du monde, lui a gagné des lecteurs nombreux et fervents. Le destin tragique de Marie Uguay lui confère aussi la marque des êtres d’exception. Comme Nelligan, comme Saint-Denys Garneau, elle est fauchée en pleine jeunesse. Ce journal fait figure de document unique où prose et poésie se répondent, et qui nous entraîne aux sources mêmes de la création.
Texte établi et présenté par Stéphan Kovacs.
Ce que la presse en dit
« Dans ses vers, Uguay avait une plume sensuelle et lumineuse qui s'attardait à la beauté des choses; dans son journal, c'est une femme intelligente, destructrice et dévastée, amoureuse et inquiète de son corps , que l'on découvre. Une soif de vivre qui émeut. »
Josée-Anne Paradis - Les Libraires