Anne Hébert, avec le scalpel acéré qu’on lui connaît – et qu’elle manie avec une tranquille assurance –, vient de découvrir un autre pan de notre étrange aventure culturelle, que l’histoire officielle nous avait masqué. Rien n’est plus plausible, en fin de compte, que cette Julie de la Trinité, fille du diable et d’une sorcière, qui apporte avec elle, dans la vie monastique, les images d’une enfance terrible et merveilleuse...
Réginald Martel, La Presse
Anne Hébert nous fait entendre le rire de la vie qui est au fond de l’enfer quand il s’attaque à la niaiserie d’un monde étouffant et conformiste.
Pierre Spiriot, Le Figaro
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