Un calme inhabituel règne à la Criminelle depuis plusieurs semaines lorsque trois homicides viennent sortir les policiers de leur torpeur. Dans un manoir du vieux quartier bourgeois de Dundurn, le pasteur Howard Terry et son fils, Matthew, gisent dans leur sang. À l’autre bout de la ville, au pied des cascades du Devil’s Punchbowl, un cadavre est découvert, le visage dissimulé sous une énorme tête d’âne en papier mâché. Tous sont affligés des mêmes blessures : deux balles dans le torse. Tous portent les mêmes vêtements : une chemise de nuit tout droit sortie d’un autre temps.
Si le lien entre les deux scènes de crime ne fait aucun doute, c’est surtout la savante disposition des corps qui attire l’attention de l’inspecteur MacNeice. Elle lui rappelle une image qu’il a vue bien des années auparavant. Oui, mais laquelle ?
Dans cette quatrième enquête, Scott Thornley lance MacNeice et son équipe à la poursuite d’un tueur en série à l’intelligence et au raffinement peu communs. Quand il deviendra clair que le meurtrier puise son inspiration macabre dans l’art des siècles derniers, les policiers devront rapidement comprendre ce qui unit ces œuvres pour l’arrêter avant qu’il s’illustre de nouveau
Ce que la presse en dit
« Scott Thornley met nos nerfs à vif dès les premières pages et ne relâche jamais la tension jusqu’au dénouement spectaculaire de l’intrigue. La Mort en perspective est un page-turner. »
« Une écriture fluide, bien rendue par la traduction, qui nous fait passer d’un univers à l’autre, de l’art à la guerre et de l’horreur à la “beauté”, en faisant saisir à tout moment à quel point tout est lié. Ad absurdum.»