Il y a toutes sortes de manières de mourir, et d’ailleurs ne mourons-nous pas tous un peu chaque jour ? Que ce soit une séparation amoureuse, ou la révélation d’une infidélité de l’être cher, ou la prise de conscience que notre enfance nous a échappé à tout jamais, la vie est pleine de ces moments où quelque chose se termine, irrémédiablement, et où quelque chose commence peut-être. Mais comment en être sûr ?
Au fil de ces treize textes, on voit se balader la grande faucheuse, revêtue d’une infinité de déguisements, dont ceux qui sont caractéristiques de notre époque : menaces terroristes, violence urbaine, vieillards qu’on abandonne, migration forcée. Elle nous glace le sang, bien sûr, chaque fois que nous l’apercevons, mais cela ne nous empêche pas, à l’occasion, de répondre à son sourire narquois ou grinçant en lui tirant la langue.
« Dans Mourir, mais pas trop, la mort n’est pas seulement physique. C’est aussi la fin de l’enfance, de l’amour ou de l’innocence, vue par une nouvelliste de talent, en 13 textes tragicomiques à la construction implacable. »
Josée Lapointe, La Presse
« Le tout est porté par une écriture de grand talent, d’atmosphère. Agnès Gruda est capable de faire respirer un lieu. Je vous invite à la découvrir. De belles histoires de vie et de lumière aussi. »
Patricia Powers, Radio-Canada
« Agnès Gruda a un style qui n'est ni ampoulé ni super soigné. Il y a une générosité et une simplicité dans son écriture qui fait qu'on a accès à tout ce qu'elle raconte tout simplement. C’est vraiment un très, très joli recueil. Elle a ce talent particulier d’écrire de bonnes nouvelles. »
René Homier-Roy,
Radio-Canada
« [Un livre] fait avec tellement de subtilité, d’ironie, d’esprit. C’est très, très bien écrit. »
Chrystine Brouillet,
TVA
« Dans
Mourir, mais pas trop, la mort n’est pas seulement physique. C’est aussi la fin de l’enfance, de l’amour ou de l’innocence, vue par une nouvelliste de talent, en 13 textes tragicomiques à la construction implacable. »
Josée Lapointe,
La Presse
« Le tout est porté par une écriture de grand talent, d’atmosphère. Agnès Gruda est capable de faire respirer un lieu. Je vous invite à la découvrir. De belles histoires de vie et de lumière aussi. »
Patricia Powers,
Radio-Canada
« Agnès Gruda offre un deuxième recueil dans lequel tout son talent de nouvelliste se déploie autour du thème de la mort et de ses déclinaisons. Ce recueil joliment titré propose des nouvelles surprenantes et puissantes, savamment ficelées, cruelles et belles à la fois. »
Alexandra Mignault,
Les Libraires
« Chacune de ces nouvelles est enrobée d'un suspens qui nous étonne par sa chute souvent imprévisible. Un plaisir renouvelé à la lecture de chacune d'entre elles. »
Danielle Perreault, 103,5 FM