Sur fond de carte postale : un village suisse perché sur un coteau ensoleillé. Au loin, le lac Léman ; alentour, les montagnes. Derrière les montagnes, la France occupée. Dans le village, un cimetière trop grand, un hospice pour vieillards, une école silencieuse, une maison vide. Et Catherine et François : une fillette qui n’a pas d’âge et un réfugié qui se demande ce qu’elle pensera de lui plus tard.
Un roman qui ne se prend pas pour un autre, un humour qui se pique de tendresse, un mouvement d’horlogerie qui remonte le temps, un son de cloche qu’on n’a pas souvent entendu.