Deuxième roman de Hervé Bouchard, Parents et amis sont invités à y assister fait entendre, par le recours à la forme dramatique, un chant collectif : un clan livre ses tribulations dans des lamentos funambulesques et bassement comiques.
Avec quelque chose de bâtard et de joyeusement transgressif, Hervé Bouchard renverse par la puissance de sa voix.
Christian Desmeules, Le Devoir
L’écriture ne ressemble qu’à elle-même, cependant cohérente dans sa singularité et peu à peu elle révèle sa puissance et mène à des abîmes aussi désespérants qu’inespérés.
Réginald Martel, La Presse
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Ce que la presse en dit
« Avec quelque chose de bâtard et de joyeusement transgressif, Hervé Bouchard renverse par la puissance de sa voix. »
Christian Desmeules, Le Devoir
« Deuxième roman de cet auteur hors normes, Parents et amis sont invités à y assister campe un univers où l’enfance et sa tragédie, ses épiphanies, ont le rôle principal. »
Benoit Jutras, Voir
« Une œuvre comme il s’en écrit trop peu au Québec. »
David Cantin, Le Soleil
« Il y a de ces romans qui font le pont entre l’histoire et l’horreur, entre les tueries imaginaires et l’amour invincible des familles décomposées. Des romans où il faut mourir pour faire partie de la famille. Où les prêtres zozotent à cause d’une langue (de serpent ?) coupée en deux, comme autrefois Dieu avait puni Maldoror en le frappant en plein front d’un éclair. Et il n’y a pas que le comte de Lautréamont qui hante les pages de ces récits incantatoires d’Hervé Bouchard, illustre citoyen de Jonquière. On sent toutes sortes de spectres rôder sans cesse autour de nos têtes, l’un après l’autre, dans une danse magnifique de la langue, mariant avec une aisance désarmante la voix d’orphelins tapageurs vivant dans les sous-sols, celles de belles-sœurs aux manigances sordides, comptant les morts comme les coupons d’épicerie, et surtout, d’une mère manchote enfermée d’avance dans le cercueil de sa mort future. »
Maxime Catellier, Ici
«Cette suite scandée, à la manière d’un rap sauvage, envoûte rapidement. »
Yvon Paré, Le Quotidien
« L’écriture ne ressemble qu’à elle-même, cependant cohérente dans sa singularité et peu à peu elle révèle sa puissance et mène à des abîmes aussi désespérants qu’inespérés. »
Réginald Martel, La Presse
« J’ai en tête un texte d’un Canadien qui s’appelle Hervé Bouchard, que personne ne connaît, un texte qui s’appelle Parents et amis sont invités à y assister, qui est un des plus grands textes contemporains de théâtre, parce qu’il a une écriture novatrice, dérangeante... »
Stanislas Nordey (metteur en scène), sur France Culture