« Je sais que je suis détruit », se dit un vieil homme qui se promène dans les rues de Montréal un jour de novembre. « Détruit, on le devient peu à peu. Pour cela, il suffit de vivre. »
Les œuvres de Gilles Archambault font entendre une petite musique triste et lancinante. Les personnages qui les peuplent vivent en suspension entre la résignation et la grise satisfaction que procure une lucidité pleine de mélancolie. Le style de l’écrivain est pur, sobre, classique. Il a la beauté d’une fin d’automne, après les feuilles et avant la neige. La beauté, s’il en est une, de novembre.
Louis Cornellier, Le Devoir
Ce que la presse en dit
« Les œuvres de Gilles Archambault font entendre une petite musique triste et lancinante. Les personnages qui les peuplent vivent en suspension entre la résignation et la grise satisfaction que procure une lucidité pleine de mélancolie. Le style de l'écrivain est pur, sobre, classique. Il a la beauté d'une fin d'automne, après les feuilles et avant la neige. La beauté, s'il en est une, de novembre. »
Louis Cornellier, Le Devoir
« Un beau recueil de nouvelles. Gilles Archambault débusque ici ce qui rend la vie triste et s'y attarde. Un recueil cohérent, à l'écriture limpide, qui se lit d'un seul souffle. »
Marie-Claude Girard, La Presse
« J’ai trouvé beaucoup d’espoir, de lueur, de lumière dans ce recueil. Un livre très touchant. Chacune des nouvelles est narrée par des personnages attachants. On s’identifie à eux. À lire. C’est un magnifique titre qui traduit l’essence même du livre. »
Lorraine Pintal, Radio-Canada/Vous m’en lirez tant
« J’ai savouré ces 17 nouvelles. »
Danièle Grenier, Radio-Canada/Divines tentations