Les racines, l’identité, la délirante quête d’amour, les sentiers de l’affection qui montrent les chemins, ciel dans les arbres, vent dans la tête, pluie infinie, le sort des femmes, l’amour des hommes, la tasse pleine, les verres vidés, la bouteille à la mer qui n’est qu’un cendrier, nos vies de monstres non déclarées, les unions, liaisons, abandons, défections, trahisons, l’apocalypse comme industrie, Big Brother au dessert, nappes de pétrole et voies d’évitement, trous dans la glace, traces dans le sable, désolations, vaste solitude, prépondérance du petit, le désordre en tout et le fracas dans le corps, la Terre qui perd la boule dans le cosmos, les yeux des hommes, le visage des femmes, le surtout froid et le trop chaud, la déréliction selon Gaston Miron, les étoiles et les petites maisons, mon amour et l’utopie, c’est ce que ça raconte, mais c’est comme de la poésie.