Vingt ans après le très touchant Un après-midi de septembre, où Gilles Archambault évoquait la disparition de sa mère, le romancier renoue avec le genre autobiographique pour tracer cette fois-ci une bouleversante chronique de la mort de sa compagne, celle qui a partagé sa vie pendant plus de cinquante ans.
C’est un livre fabuleux, un livre bouleversant.
Catherine Richer
C’est un livre essentiel. Comme il y en a trop peu. Le genre de livre pudique, économe de mots, sans enflure aucune. Le genre de livre qu’on lit avec une boule dans la gorge, pourtant. Qui fait monter l’émotion d’autant plus qu’il est tout en retenue. C’est un livre grave et beau, qui laisse sans mot. On voudrait n’en rien dire que ceci : à lire absolument.
Danielle Laurin, Le Devoir
Vingt ans après le très touchant Un après-midi de septembre, où Gilles Archambault évoquait la disparition de sa mère, le romancier renoue avec le genre autobiographique pour tracer cette fois-ci une bouleversante chronique de la mort de sa compagne, celle qui a partagé sa vie pendant plus de cinquante ans.