Après une rupture définitive avec sa famille, mère et fils, Angèle s’est exilée au Nord, Chisasibi d’abord, puis Rapide-Danseur, en Abitibi. Depuis deux ans, elle tente de se reprendre en main avec l’aide de Ray, son bel amoureux du fond des bois. Mais voilà que le passé la rattrape avec la mort accidentelle de sa mère, Anita. Elle devrait se rendre à Montréal, revoir son fils Alex, dire adieu à sa mère, mais elle ne fait que plonger dans ses souvenirs, incapable même de se confier à Ray. Elle sait que tout peut basculer en cette journée de tempête qui semblera une vie pour elle.
Après Le Fils du Che, dont l’action se déroulait à Montréal, Louise Desjardins poursuit son exploration des relations mère-enfant sur fond de paysage nordique. L’univers si particulier de Louise Desjardins trouve toute sa force dans son regard sur la nature, où l’humain est si petit.
« Ce très beau roman a un côté envoûtant avec l'expression forte de cette voix blessée qui, quoique soutenue par ses proches, peine à émerger d'une douleur étouffante. »
Yves Guillet -
Le Libraire
« Du Louise Desjardins troublant, profond, simple et beau, rude aussi, comme un personnage d'Abitibi. »
Betty Achard -
Le Bel âge
« On ressort de cette lecture, le cœur et l’âme brassés, heureux de ce dur voyage qui révèle nos peurs les plus secrètes. Un récit démontrant avec poésie que nos faiblesses sont une part entière de notre humanité. »
Tania Massault -
Cousins de personne
« Louise Desjardins écrit divinement bien. Elle a une manière de nous prendre par la main et de nous amener dans cette histoire-là sans tout nous dévoiler dès le départ. C’est finement écrit. Vraiment, j’ai apprécié cette lecture. »
Isabelle Lacasse -
V Télé
« Chapeau ! C’est un beau roman. »
Véronique St-Onge -
Salut Madeleine!/CFM 92.7 FM
« J’ai été remuée par ce roman. C’est MA lecture de l'automne. »
Paule Therrien - Espace Musique/Radio-Canada
« Une lecture que je recommande. Un bon roman de voyage. »
Guylaine Tousignant -
Radio / Canada - Boreal Express
« Après
Le fils du Che, dont l’action se déroulait à Montréal, l’écrivaine Louise Desjardins explore à nouveau les relations mère-enfant dans
Rapide-Danseur, un roman qui témoigne de son profond attachement pour sa terre natale, l’Abitibi. »
Marie-France Bornais –
Journal de Montréal
« Louise Desjardins est une magicienne qui nous possède d’un bout à l’autre de ce roman introspectif. Une formidable réussite. »
Yvon Paré –
Progrès-Dimanche
« Une habile et douloureuse exploration des relations mère-enfant. »
Louise Plante –
Le Nouvelliste
« J'avais envie de comprendre comment une mère arrive à abandonner ses enfants. C'est très loin de moi, mais plusieurs femmes se sentent incapables d'élever un enfant et vivent d'incroyables déchirures, se sentant inadéquates et coupables. J'ai essayé de fouiller cette écorchure, sans jugements. »
Entrevue à
Plus on est de fous, plus on lit! (Radio-Canada)
« Une des grandes écrivaines au Québec. Ce qu’elle écrit est juste, ciblé. Une écriture d’une grande souplesse. […] C’est tellement bien fait. Il y a des images qui nous restent. C’est touchant, émouvant, c’est remarquablement écrit. »
Chrystine Brouillet -
Salut Bonjour Week-end (TVA)
« On ne peut pas lire ce livre trop rapidement, parce qu'il regorge d'intériorité et de profondeur. »
Patricia Powers -
Radio/Canada - Chez nous le matin
« Pas de grandes tirades philosophiques, pas de pathos non plus. On est dans le quotidien, dans le concret, dans les petits gestes qui font toute la différence. Autant le cheminement que l’on suit est tortueux, douloureux, autant l’écriture est fluide, enveloppante. On referme à regret
Rapide-Danseur. Tout s’est passé si vite, trop vite. »
Danielle Laurin –
Le Devoir
« Étrangement lumineux, le roman se tient tout seul pour mieux plonger dans un univers étonnant. »
Marie-Christine Blais -
La Presse
«
Rapide-Danseur plonge dans la psyché précaire d'Angèle, paralysée par les émotions surgies de son passé lorsqu'elle apprend la mort d'une mère qu'elle avait fuie. »
Marie Labrecque -
Entre les lignes -
Vidéo