Le 6 juin 2012, on a diagnostiqué à Vickie Gendreau une tumeur au cerveau. Entre les traitements, entre l’hôpital et « sa chambre à soi », elle écrit Testament, roman autofictionnel où elle s’imagine morte et léguant à ses proches, dans une langue crue et flamboyante comme elle l’était, le récit fragmenté de sa dernière année et celui des êtres aimés qui, après son départ, se rappellent son vivant souvenir.
Testament fait entendre la voix moqueuse et véhémente d’une écrivaine de vingt-trois ans, nourrie tant par la littérature que par la musique underground et YouTube. Son sens de l’image, son autodérision implacable et la justesse de l’émotion dans chaque phrase font de ce livre une œuvre sans compromis. À l’image d’une jeune femme qui a vécu sans retenue, et pour qui la littérature a importé jusqu’au dernier jour.
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Ce que la presse en dit
« Ce roman […] a été ressenti comme un tsunami littéraire, par les cris que sa prose faisait entendre et les qualités intrinsèques de son écriture. »
Jean-François Crépeau – Le Canada français
« L’écriture fragmentée de Testament alterne entre le journal intime de la narratrice et les voix de ses amis qui reçoivent ses écrits posthumes. L’expérience est sans concessions, brutale quand on s’y attend le moins. »
Chantal Guy - La Presse
« Cela dit, j’ai sincèrement hâte à 2013. Envie de découvrir de jeunes auteurs aussi talentueux que Vickie Gendreau, dont le livre Testament m’a bouleversée l’an
dernier. »
Louise Dugas - Elle Québec