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Romans et récits

Tiroir No 24

Pourquoi l’ont-ils choisi, lui ? Peut-être parce qu’il aime chanter, mais certainement pas à cause de sa tignasse rousse, qui brille comme du cuivre quand sœur Dionne l’enduit de lotion. Il était le « Tiroir numéro 24 » de l’Orphelinat catholique. Il sera désormais le gars des Cyr. Il a six ans. C’est juste avant l’Expo 67.

Michael Delisle sait évoquer toute la part de mystère qui se cache dans chaque destin. À travers l’errance du gars des Cyr, c’est une étape charnière de la conscience québécoise qu’il nous fait revivre. Le passage de la tradition à la modernité, qui cache bien des périls.

« On y voit notre histoire québécoise et l’arrivée des immigrants européens d’un autre œil. Ça résonne beaucoup en nous, politiquement et socialement. Un roman sombre, pénétrant et très fort.»
Jean Fugère, Radio-Canada / Pourquoi pas dimanche

« Un livre qui m’a bouleversée. J’ai adoré ce roman-là. Une montée dramatique extrêmement poignante. Un roman court mais très dense. Assez inoubliable ! »
Manon Trépanier, Radio-Canada/La librairie francophone


Autres informations

Parution : 23 janvier 2018, 132 pages
ISBN-13 : 9782764625408
Code barre : 9782764625408
Collection : Boréal compact
Numéro : 305

11.95 $   /   9.50€

Ce que la presse en dit

« Michael Delisle est un poète, et ça se sent par le rythme de ses phrases, par la cadence et le son des mots qu’il emploie. Le récit dans lequel il entraîne le lecteur est à la fois une descente aux enfers et une rédemption. Tiroir n° 24 est un roman flamboyant comme la tignasse de Benoît et comme les feux qui brûlent en lui et autour de lui. C’est l’histoire d’un personnage dont la vie se résume à un tiroir avec ce que ça peut représenter de réconfortant et d’étouffant; l’histoire d’un personnage qui, maintenant, veut respirer. »
Julie Laferrière, TV5 / Club social

« On y voit notre histoire québécoise et l’arrivée des immigrants européens d’un autre œil. Ça résonne beaucoup en nous, politiquement et socialement. Un roman sombre, pénétrant et très fort.»
Jean Fugère, Radio-Canada / Pourquoi pas dimanche

« Très réussi ! »
Danielle Laurin, Le Devoir

« Un roman dur, fort, bouleversant. Un livre épuré où chaque mot compte. »
Danielle Laurin, Elle Québec

« Un livre qui m’a bouleversée. J’ai adoré ce roman-là. Une montée dramatique extrêmement poignante. Un roman court mais très dense. Assez inoubliable ! »
Manon Trépanier, Radio-Canada/La librairie francophone

«J’ai adoré ! Quel beau personnage ! La langue est très belle. Elle est directe, simple. Un roman touchant, émouvant. J’ai été boulversée. Une lecture essentielle»
Lorraine Pintal, Radio-Canada/Vous m’en lirez tant

« C’est un beau livre. »
Aude Jimenez, Radio-Canada / Tam-Tam Canada


« Avec l’économie de mots qu’on lui connaît, Michael Delisle, avec sa plume de poète, arrive à narrer un récit bouleversant, qui démontre la puissance de chaque petite fin du monde, de même que le passage de la tradition vers la modernité, passage qui ne se fait pas sans heurts. »
Les libraires

« Dans ce court roman, il n'y a pas un mot de trop. Le style est clair, les personnages sont bien campés, on sent le drame se construire à petites touches et l'horizon se boucher inexorablement. C'est tragique et désespérant. » Marie-Anne Poggi, Club des Irrésistibles

Les Éditions du Boréal
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Tél: (514) 287-7401 Téléc: (514) 287-7664

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