Un homme apprend la même semaine que sa femme le quitte et qu’il est atteint d’un cancer. Laquelle de ces deux morts annoncées est la plus redoutable ? Quelles raisons aurait-il désormais de se battre pour sa vie ? Ce livre, le plus personnel que Gil Courtemanche nous ait donné, nous montre un homme seul devant la mort, seul devant la vie, qui lance un bouleversant cri de douleur, un pressant appel à ne pas laisser échapper cette vie. C’est aussi, surtout, une fabuleuse déclaration d’amour.
Ce n’est jamais la première, la première femme, c’est souvent la dernière. Elle est la première dans le sens de naissance, de découverte, d’abandon. C’est Ève, mère et compagne de tout. Un bateau aussi sur une mer démontée, la musique que l’âme imaginait et que l’on entend soudain. Le bruit de ses pas n’est pas le son de souliers sur le trottoir ou dans le couloir, le bruit de ses pas annonce la vie qui revient, le bruit de ses pas fredonne une chanson heureuse et langoureuse. Les yeux de la première femme ne sont pas des yeux, ils inventent un regard tout comme sa parole dicte un monde dans lequel l’homme se fond avec délice et respect. La première femme est la mère de l’homme, cette mère qui l’enfante une deuxième fois. Voilà ce que fut et est encore Violaine pour moi.
Autres informations
Ce que la presse en dit
« […] l’ouvrage le plus personnel, le plus intimiste, voire le plus introspectif livré par le journaliste et romancier. » Sylvain Sarrazin –
Entre les lignes« Si
Je ne veux pas mourir seul m’a tant ému, […] c’est que l’écrivain a su trouver les mots justes, les mots vrais et donner une forme aussi belle que tragique à ce requiem pour un amour fané. » Stanley Péan – Le Libraire
« Absolument passionnant. » Johanne Mongeau -
Radio Sortir FM 106,9 Québec / Tickets « La certitude de lire le meilleur livre de l’auteur. Son plus puissant. Son chef-d’œuvre. » Danielle Laurin -
Le Devoir« Quoi dire de plus que ce que l'auteur écrit. Style sobre et efficace. Gil Courtemanche sait raconter. Un très grand livre et un grand écrivain. Parfois les mots nous manquent. Un moment de grâce. » Danielle Perreault -
Radio 103,5 FM Lanaudière / Chronique littérature« C’est une merveilleuse déclaration d’amour […]. Un livre à lire. Une écriture fantastique ! » Roxane St-Gelais,
Canal V / Le Show du matin« L’auteur et journaliste Gil Courtemanche n’a pas l’habitude de mâcher ses mots, ni de se réfugier derrière eux pour bien paraître. Il en fait une démonstration éloquente, à la fois bouleversante, douloureuse et presque cruelle, dans
Je ne veux pas mourir seul. » Valérie Lessard –
Le DroitPour écouter l'entrevue de Gil Courtemanche avec Christiane Charette à la Première Chaîne de Radio-Canada,
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