What isthis country, where they squirt Flytox on children before a walk in the woods?Where entire families take valium the night before a wedding? Where onlyfathers, not mothers, can register a birth with the state? Where a woman needsher husband’s permission to take out a bank loan? Where boys are kings andbrothers walk on the other side of the street rather than be seen with theirsisters? Where a dispensation from the bishop is required before one can teach MadameBovary? With irony, power and rhythm, and just the right amount ofhistorical detail, Louise Desjardins tells the story of a fighter.
« Un roman très, très personnel où elle revient sur des souvenirs de sa jeunesse, de son enfance. C’est aussi un beau portrait des femmes des années 1960-1970. »
« Un petit bijou littéraire »
Billy Robinson, Librairie de Verdun
« Il y a une performance d’écriture qui est très, très, très subtile, tu ne cherches pas à jeter de la poudre aux yeux, à nous impressionner par toutes les prouesses littéraires et je crois que tous les lecteurs-lectrices vont beaucoup apprécier parce qu’on retrouve Louise Desjardins à son meilleur dans ce livre. »
« À la fin, on referme "La fille de la famille" mi-amusée mi-révoltée, mais surtout remplie d’une grande tendresse pour la narratrice qui a réussi à se libérer de quelques boulets en cours de route. On aimerait bien connaître la suite de ses aventures. »
« C'est assez délicieux comme roman On s'abandonne parce que ça ressemble à la vie »
« Comme tant de femmes qui ont porté le Québec sur leurs épaules, le personnage de la Suffragette placera longtemps les besoins de tous les autres — de son peintre de mari qu’elle fait vivre, de ses beaux-parents, de ses enfants — devant les siens. Au risque de se perdre. »
« C’est un voyage dans le temps. C’est vraiment fascinant. Ça nous démontre avec une plume très efficace, très simple que les choses changent. »