Marie-Sissi Labrèche's third novel (after Borderline and La Brèche), La Lune dans un HLM, is a faithful follow-up to her previous works: mother-daughter relationships, a certain Montreal-style of social misery, and art as a form of redemption are once again the backdrop.
The main character, Léa, a young woman in her twenties, a cashier at Wal-Mart, dreams of becoming “the greatest painter that the world has ever borne”. But she bears a heavy load, her mother, little more than a child herself, is keeping her from spreading her wings.
The story of Léa and her tortured mother is interrupted by implacable letters that the author has written to her own mother. This novel, which oscillates between reality and fiction, precisely that grey area where Marie-Sissi likes to take us, is an angry yet tender cry for freedom. Equally, it carries the author's signature use of words and their musicality as well as her ability to bring a smile to the reader in the face of the worst possible situations.
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Ce que la presse en dit
« Aiguisée comme un scalpel, la plume de Marie-Sissi Labrèche pique
au cœur de la douleur... »
Elsa Pépin – Ici«
Marie-Sissi Labrèche a les pieds bien ancrés dans la réalité, réalité
qu’elle ose questionner brillamment par une écriture littéraire. »
Stéphane
Despatie – VoirPour lire l’entrevue« Très inspiré, très
imagé, très personnel, très audacieux. »
Pascale Navarro – Radio-Canada/Ouvert
le samediPour écouter la critique en 2e partie d’émission«
Voici quelqu’un de vrai, qui fait entendre une vraie voix. Quelqu’un
qui nous secoue. Nous émeut, aussi. Et nous fascine. »
Danielle
Laurin – Le Devoir
« D'un chapitre à l'autre,
ces deux voix alternent. L'histoire de Léa est entrecoupée de ces
lettres qui nous laissent l'impression vive d'entrer dans le secret de
l'auteure, dans la fabrication intime du roman qu'elle est en train
d'écrire sous nos yeux. Et c'est beau, douloureusement beau, tellement
beau que ça fait mal au coeur. Alors que l'on nage en pleine détresse,
en pleine tragédie humaine, on se sent portés par la grâce de cette
écriture qui joue avec les maux avec une inventivité et un bonheur rare.
»
Marie-Claude Fortin — La Presse ****«
Marie-Sissi Labrèche met sans cesse de la drôlerie dans son tragique :
ses mots tranchants transportent des images saisissantes, décalées, avec
ces expressions propres au français du Québec, ces « maudits » et ces «
calvaires », jurons qui sonnent ironiquement si poétique. »
Véronique
Rossignol – Livre Hebdo Entrevues :
Radio-Canada/Christiane CharetteLa Presse