Who hasn’t daydreamed about starting over with a clean slate, complete with a new identity? For Lori Saint-Martin, the urge to reinvent herself not just a dream, it’s a necessity. She tells a story both radiant and cruel, about how she rejected the environment, culture and language that produced her and became someone else. Her metamorphosis finds its greatest power in a revelation: discovering the French language. From Kitchener to Montreal, with stops in Quebec City, Barcelona and Berlin, Lori Saint-Martin takes us on a tour of the hearths of “her languages” – English, French, Spanish, German – and the faces they evoke.
« Pour qui je me prends se lit aussi comme une lettre d’amour aux langues – à la langue française, en particulier, mais aussi à l’espagnol, sa troisième langue, et à l’allemand, sa « langue fantôme » –, à leur pouvoir transformateur, révélateur de ces parcelles d’identité cachées à l’intérieur de soi. »
« Pour qui je me prends raconte l’histoire d’une révolte qui a bien tourné, l’histoire d’une ascension sociale et d’une transformation par l’apprentissage du français. C’est surtout un témoignage sur l’accomplissement de soi par la pratique de plusieurs langues, laquelle, selon l’autrice, vous permet d’être plus d’une personne. Une œuvre marquante que ce récit de Lori Saint-Martin. »
« Un récit qui touche par sa sincérité et l’intelligence lucide d’une femme qui se prend pour ce qu’elle est. »
Pascale Millot, Montréal Centre-Ville
« Un très beau récit, très juste et par moment, émouvant. Un livre nécessaire. »
« À travers des voyages et des cultures différentes, l’autrice offre une vision très épurée et franche de son parcours de vie. Ce livre rempli de poésie est une véritable déclaration d’amour à la langue qui a permis à Lori Saint-Martin de renaître. »
Tristan Champagne-Lessard,
Montréal Campus
« Un récit qui ébranle des certitudes, ouvre l’esprit et questionne sur ces désirs que l’on écrase souvent. N’est-ce pas le rôle de l’écriture et de la littérature que de rompre des amarres pour aller dans des espaces de liberté où il est plus facile de devenir un autre ? »
« C’est un livre très personnel. »