Septembre 1969, Léon Doré entre en cinquième année à l’école Saint-Matthieu. Il a de bonnes raisons d’être un brin déprimé. L’école, ce n’est vraiment pas fait pour lui. Et, en plus, il y a Thibault, Lefebvre et Raton, le trio infernal qui s’est juré de lui casser la gueule.
« Par sa simplicité, sa linéarité, ses accents de "faits vécus", Alice court avec René est un récit qui touchera profondément les lecteurs qui n’ont pas oublié leurs grosses peines d’enfant. Bruno Hébert y a mis une sensibilité vraiment très fine, un humour tendre, une pointe de tristesse, et une profonde compréhension de la réalité de ces enfants qu’on appellerait, aujourd’hui, des rejects. » Marie-Claude Fortin, Voir
« On rit dès le prologue de Alice court avec René — dont le titre rappellera bien des souvenirs à toute une génération — et le livre, même fermé, vous laisse dans une humeur agréable. » Osée Kamga, Ici