La paix a son prix, et il faut parfois brûler les ponts. Il y a déjà longtemps que Jack vit sans Monica. Longtemps aussi que Jack vit sans Jack, un peu. Mais on a beau enterrer les souvenirs, l’érosion fait son travail. Chercher le vent nous entraîne sur la route, la route sans destination, simplement parce qu’il faut bouger, parce qu’il faut prêter ses voiles au hasard.
«Un roman à travers lequel, en mêlant aux ingrédients poivrés du romantisme moderne une pointe liquoreuse de sentimentalisme, l’auteur confirme son indéniable doigté dans l’art de réussir les plus savoureux cocktails.»
Bernard Le Saux, Figaro Magazin
Ce que la presse en dit
« Dès la première lecture de
Chercher le vent, je savais que j’allais y revenir. L’histoire est somme toute banale, pourtant. Ce qui m’a accrochée? Guillaume Vigneault a ce don de raconter le banal avec une justesse touchante. Ça donne des petits coups au cœur qui font juste assez mal parce que forcément, on s’y reconnait. » Mélissa Pelletier,
Les Méconnus