Ce sont des nouvelles, textes courts et incisifs, tous soigneusement taillés dans l’insupportable banalité des drames et des lieux. Le livre se compare à une petite mosaïque de pierres multicolores. Chacune conserve sa couleur rare et la forme unique de sa froide minéralité. L’ensemble n’en constitue pas moins un vivant portrait de Montréal, une effrayante collection de spécimens humains, un tableau prodigieux de cacophonie et de tristesse
nordique [...].
Il faut lire sans hésiter Les Aurores montréales. Pour apprivoiser l’atrocité. Pour attiser la fureur. Pour savourer le bonheur d’une écriture souveraine aux portes de la barbarie. Enfin parce que ces nouvelles s’ajustent de manière à former un livre, ce qui n’est pas toujours évident quand on rassemble des histoires dont chacune soutient si facilement sa propre unité.
Réjean Beaudoin, Liberté
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Ce que la presse en dit
«
Aurores montréales, c’est LE livre à lire pour découvrir le Montréal de Monique Proulx. Et 20 ans plus tard,
Ce qu’il reste de moi. Découvrez Monique Proulx, c’est vraiment une de nos grandes écrivaines! »
Jérémy Laniel,
Radio-Canada