Nicolet, fin de l'été 1917. Nazaire disparaît au beau milieu d'une fête de famille pour ne reparaître qu'à la fin de la guerre. C'est son neveu qui raconte son histoire soixante ans plus tard.
« Ce curieux personnage mérite d’être connu. Il réussit à s’imposer, peu à peu, dans un récit qui a pour vertus principales la sobriété de l’écriture et la qualité du regard posé par le narrateur sur les êtres et les choses. »
Gilles Marcotte, Le Devoir
« Louis Caron a créé un ton, un personnage et un espace romanesque que la littérature québécoise n’est pas prête d’oublier. »
Lise Gauvin, Le Jour
« La publicité a parlé d’un Steinbeck canadien. C’est une référence dont on peut avoir besoin à Paris ; disons, pour prendre nos mesures et rappeler les filiations nécessaires, que Louis Caron appartient à la lignée des meilleurs Thériault et Langevin. »
Jacques Godbout, L’actualité