L’homme blanc, c’est Kolia, né dans les monts K. en Sibérie orientale, élevé dans les prisons de Staline. Là-bas, enfant encore illettré s’habituant à la faim et au froid, il fait la rencontre de Iossif, un prisonnier originaire d’Europe de l’Ouest qui le prend en charge et lui donnera le goût de l’art, du français, du monde libre.
On ne pensait guère revoir ça : après des décennies de littérature confidentielle, un roman tourné vers l’autre, vers le vrai ; un roman sobre et parfait.
André Brochu, Lettres québécoises
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Ce que la presse en dit
« Une surprise, une vraie. Sans doute la plus belle découverte littéraire de l’automne. »
Danielle Laurin, Le Devoir
« Un premier roman d’une grande maîtrise, qui se déroule du goulag en Sibérie jusqu’à un cirque de Moscou. »
Chantal Guy, La Presse
« On ne pensait guère revoir ça : après des décennies de littérature confidentielle, un roman tourné vers l’autre, vers le vrai; un roman sobre et parfait. »
André Brochu, Lettres québécoises
« Il ne faudrait pas passer à côté de cette voix forte qui s’élève, d’une plume assurée qui déploie une perspective singulière avec une remarquable justesse de ton. »
Marie-Hélène Poitras, Voir
« Il est absolument réjouissant de découvrir un roman québécois qui raconte avec un tel sentiment de vérité une histoire hors norme se passant à l’autre bout du monde. »
Marie-Claude Girard, La Presse
« La force de ce récit est sans doute ce personnage pathétique de clown muet marqué par son passé, loyal dans ses amitiés et fidèle à ce maître disparu qu’il recherchera jusqu’à la fin. Un très beau roman qu’imprègne l’amour de l’auteure pour la culture et l’âme russes. »
Monique Lepage, La semaine